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Let us sit upon the ground And tell sad stories of the death of kings. How some have been deposed; some slain in war; Some haunted by the ghosts they have deposed; Some poisoned by their wives; some sleeping killed. All murdered. For within the hollow cr
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4 avril 1842 ϟ En ma fin est mon commencement

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Jeanne De Montpensier
Jeanne De Montpensier
Age : Eternel
Messages : 1201
Localisation : Avec une vie comme la mienne? je n'ai jamais prétendu atteindre le Paradis...
Titre(s)/Emploi : Impératrice toujours et à jamais

Face Cachée
Relations:
Mon Secret du Moment: Mon dernier secret, je l'ai emporté avec moi...
Popularité à la Cour:
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MessageSujet: 4 avril 1842 ϟ En ma fin est mon commencement 4 avril 1842 ϟ En ma fin est mon commencement Icon_minitimeVen 14 Déc - 12:07


De la fenêtre de la salle du trône, l’on embrassait du regard toute la Bourgogne vallonnante et verdoyante, baignée d’une douce lumière matinale. L’Impératrice, le regard froid, laissait son regard glisser de bosquets en clochers. Derrière elle, Blanche, sa douce cousine, lui agrippa le bras.

- Je sais Blanche, ils arrivent…

A l’horizon de ce paysage bucolique, un nuage de poussière se levait, obscurcissant le ciel tandis qu’une colonne de plusieurs centaines de soldats rampait comme des fourmis sur le tapis de verdure. Ses ennemis ? Non, c’étaient les bannières frappées du propre blason des Montpensier. Jeanne se raidit d’orgueil. Comment le fourbe était-il parvenu à se trouver des soutiens parmi leurs vassaux ? Des hommes sans honneur… Voilà comment partait l’Empire, en lambeaux. Leur idéal, leur combat, leur fierté, souillé par ce chien de Caleb… Si Seth voyait cela…

Seth… L’Impératrice sentit son cœur s’effondrer dans sa poitrine et une lame aussi acérée que celle d’un couteau la transpercer de part en part. Rien, ni le temps, ni les pleurs, ni la joie de leurs enfants ne parvenait à apaiser la douleur de son trépas. Jeanne avait cru perdre l’esprit sous la violence du choc. Recluse dans ses appartements pendant plusieurs jours, refusant tout contact, toute nourriture, on n’avait pu entendre seulement ses cris déchirants et le fracas de tous ses meubles brisés les uns contre les autres dans une rage désespérée. Puis un matin, au point de l’aube, elle était reparue, avait repris la tête du conseil de guerre, comme si de rien n’était, comme si son chagrin et son deuil demeuraient enfermés sous clé. Et pourtant, son âme n’était qu’un vaste champ de ruines, elle errait en elle-même, hurlant comme un fantôme sur les landes désolées. Pourtant, lorsque le désespoir menaçait de l’engloutir tout à fait, sans cesse le souvenir de Seth s’imposait à son esprit : l’Empire, toujours. Quoiqu’il advienne, il devait demeurer, comme l’héritage de ses enfants, comme le souvenir vivant de l’œuvre de l’Empereur défunt et jamais elle n’aurait la faiblesse de le laisser tomber entre les mains ennemies des Wingswar. Il ne l’aurait pas souhaité. S’il avait crû deviner de telles intentions, il se serait probablement emporté d’une de ses colères dantesques, l’aurait menacé et ne trouvant d’autre compromis à leurs natures tempétueuses se seraient abandonnés l’un à l’autre. Jeanne laissa échapper un sourire. Ce souvenir là ne lui était point douloureux, ses mains, ses caresses, ses lèvres, avaient marqué sa peau à jamais, il lui suffisait seulement de fermer les yeux pour se sentir de nouveau tout entière possédée.

Caleb n’avait pas trainé. Quelques jours lui avait suffit, le corps de son frère à peine froid et enseveli sous la terre qu’il marchait déjà contre sa veuve. Lorsque le vent de sa trahison lui avait effleuré les oreilles, Jeanne explosa d’une rage noire. Elle savait ce qu’il voulait. Ce que tous les Montpensier voulaient : le pouvoir. Il omettait bien aisément que le pouvoir ne lui revenait pas, il revenait à son neveu, le fils de son frère, le petit César-Auguste certes encore un enfant mais dont la mère, la si bien nommée Louve de Prusse, veillait au grain. Caleb pouvait bien s’emparer de la couronne, il ne pouvait prétendre à la légitimité. Jamais. Il ne trouverait aucune loi dans aucun royaume qui n’appuie ses prétentions. Depuis la naissance de son neveu, il n’était que second dans l’ordre de succession. Malgré l’affection qu’il portait à son frère, Seth vivant ne lui reconnaissait aucune qualité politique, tout le monde le savait. Il chérissait plus encore son sang et sa chair, jamais il n’aurait supporté de savoir son si précieux garçon spolié de son droit le plus légitime. Depuis que le bruit de la trahison de nombre de vassaux de l’Empire était parvenu à ses oreilles, Jeanne connaissait l’issue de cette dernière bataille contre son beau-frère félon. Elle payait cela de sa vie mais se savait d’ors et déjà vengée. La reddition ne serait pas signée et ses actes méprisables allumeraient une mèche qui allait enflammer un gigantesque brasier.

- Blanche, fais venir mes enfants. Trouve Irina aussi, j’espère qu’elle n’est pas encore partie.

Depuis quelques jours, depuis que le frère de feu l’Empereur marchait sur Dijon pour se saisir du pouvoir, le palais impérial se désertait de tous ses habitants et Jeanne ne cherchait pas à les retenir. Dans l’ombre, attendant son heure, l’Impératrice savourait son ultime triomphe. Lorsqu’Irina parut, elle tenait à la main Sophie qui lui était fort attachée et le petit Seth qui trottinait d’un pas vif et insouciant. César les suivait de près tandis que Blanche fermait la marche tenant Letizia dans ses bras. Le visage de Jeanne s’illumina d’une chaleur qui jadis irradiait son regard prédateur et un instant, fugace, elle redevint celle qu’elle était encore naguère. Fidèle Irina, comment avait-elle pu se penser abandonnée d’elle ? Voyant la petite princesse, qui n’avait que quelques mois, dans les bras de sa cousine à peine vêtue, la Louve ôta le châle qui lui couvrait les épaules et enveloppa de son odeur Letizia. Puis émue devant sa dernière née, Jeanne caressa avec amour son petit front chaud de la pointe de son nez et Letizia émit alors un léger souffle de satisfaction. Les trois femmes réunies, Jeanne s’adressa à elles, sans qu’elle eut pourtant besoin de le faire, ses intentions étaient claires pour toutes, elle les en avait entretenu quelques jours plus tôt.

- L’heure est venue mesdames…

Jeanne esquissa un mince sourire qu’elle jugea bien dérisoire. Que dire ? Aucune parole n’aurait suffit à exprimer toute sa gratitude envers ses deux amies, bien plus que des sœurs.
L’Impératrice se laissa glisser à terre pour rejoindre ses précieux enfants, elle les contempla longuement sans mot dire, laissant glisser dans leurs boucles brunes et soyeuses ses doigts fins, comme si elle cherchait à graver dans l’éternité leur souvenir innocent et pur. Comme elle les pressa tout contre son cœur, elle huma leur senteur enfantine et les larmes se mirent à monter comme la sève dans un arbre.

- Oh mes amours, mes princes. Dieu vous bénisse et vous protège chaque jour de votre vie. Soyez forts et valeureux comme des lions, petits Montpensier. Puissiez-vous un jour rugir à faire trembler les cieux et les traitres.

Sa voix tremblait d’émotion, d’amour et de rage contenus mais elle demeurait drapée dans son orgueil de souveraine. Comme leur père serait fier. Comme elle aurait aimé les voir grandir et devenir de merveilleux êtres. Se souviendraient-ils d’elle seulement en grandissant? De Seth ? De leur héritage ? Sauraient-ils à quel point ils avaient été chéris ? Sauraient-ils comme leurs parents s’étaient aimés ? Caleb balayerait tout, jusqu’à leur souvenir… Il les condamnait à une vie de clandestinité et de fuite alors qu’ils auraient dû régner, par le droit et par le sang, sur les terres et les océans, sur le vaste Empire fortifié davantage par leur père que par n’importe quel autre de ses prédécesseurs. C’était l’espoir qui guidait Jeanne en cet instant. Son regard s’arrêta sur César-Auguste. Un jour, son fils monterait sur ce trône pour lequel aujourd’hui elle faisait le sacrifice de sa vie.

- Nous partons Maman ?
- Oui, vous partez devant, je… _la voix de Jeanne se noua et s’enroua : comment leur dire l’indicible, l’inconcevable ?_ Soyez bien sages et obéissez à Son Altesse en tous points. Si elle devait un jour se plaindre de votre conduite, sachez que je le saurai et que j’en serai fort courroucée…

Les deux enfants hochèrent la tête avec sérieux. Que comprenait-il du drame qui se jouait en cet instant et qui allait faire basculer leur vie à jamais ? Jeanne se fit fort de ne rien montrer de l’émotion qui l’étreignait. Le temps pressait, il leur fallait partir… Après avoir longuement embrassé les joues pouponnes de ses jumeaux qui ne s’imaginaient pas une seconde qu’il s’agissait là des derniers qu’ils recevraient jamais de leur mère, Jeanne se tourna vers Irina :

- Pardon, pardon de vous mettre devant ce choix que nous n’aurions jamais du faire, devant ces responsabilités que vous n’avez pas choisi et que j’aurais tant aimé vous épargner. Mais je vous en prie, de tout mon cœur de mère, protégez-les. Soyez pour eux celle que je ne serais plus. Séchez leurs pleurs et partagez leurs rires, mais plus encore dites-leurs…

Tant de choses… Tant de choses qu'elle n'avait pas eu le temps de dire… La voix de l’Impératrice se tarit. Le jour venu, Irina saurait ce qu’il faudrait dire. Elle lui confiait ses biens les plus précieux, elle ne pouvait partir que les sachant en sécurité. Avant que de la voir se détourner pour de bon, l’Impératrice lui glissa dans la main le sceau impérial quel portait au doigt depuis que Seth le lui avais remis, avant de partir vers cette guerre dont il n'était revenu. Cet objet serait la première chose sur laquelle Caleb chercherait à faire main basse, Jeanne souhaitait ardemment qu’il se retourne les ongles à fouiller le palais. Le moment venu, ce même sceau servirait les prétentions de César-Auguste, il fallait donc qu’il soit en sûreté. Dans un élan de tendresse, Jeanne prit dans ses bras la si douce Irina. Saurait-elle jamais combien elle lui serait reconnaissante jusque dans l’éternité ? Les yeux humides, Jeanne lui intima :

- Pars vite par le passage que tu sais. Pour l’amour de Dieu, ne te retourne pas, ni eux…

L’Impératrice se dégagea elle-même de leur étreinte et fit volte-face afin de ne point les voir disparaitre là où elle ne pouvait les suivre, de peur de les retenir un peu plus longtemps encore. Son visage était bien trop connu dans toutes les provinces de l’Empire, son profil figurait sur les monnaies impériales, on aurait tôt fait de la confondre et de la remettre entre les griffes de son beau-frère. Allons, il fallait le laisser gagner cette bataille, mais ce serait ses enfants qui mèneraient la guerre. Leur souvenir, toujours, tourmenterait Caleb dans l’angoisse qu’ils grandissent et qu’ils se présentent, adultes, aux portes de Dijon à la tête d’une immense armée.

Lorsque la porte claqua derrière Irina, Jeanne, de nouveau sereine, se retourna vers Blanche et lui dit simplement :

- Allons, ne pleure pas jolie Blanka. Aide-moi à me préparer, veux-tu ?

Elles laissèrent Seth et Letizia aux bons soins d’Anke qui demeurait encore aux côtés de l’Impératrice. Sur le chemin vers les appartements impériaux, elles croisèrent bon nombre de domestiques, de courtisans qui fuyaient en emportant avec eux les sculptures, les porcelaines, les tableaux de maitres. Un bien triste spectacle en vérité. Tous s’interrompirent voyant l’Impératrice faire irruption, comme des enfants pris en faute, mais Jeanne, tel un vent cinglant du Nord, ne s’arrêta pas pour les sermonner, au contraire elle les encouragea d’un geste de la main et de sa voix la plus franche :

- Faites, mes braves, faites ! Prenez et vendez tout, qu’il ne lui reste rien. Il espère se vautrer dans le luxe et l’opulence, je veux qu’il trouve des murs et des coffres vides et je veux qu’il en crève !

Une fois la porte de ses appartements close derrière Blanche et elle, Jeanne avait retrouvé le feu hispanique qui la consumait depuis toujours:

- Il me pense recluse dans la peur et l’attente de son triomphe et de sa sentence. Pense-t-il que je me rendrai ? Que je ploierai le genou ? Que je me laisserai soumettre à une humiliation publique ? Montrons-lui.

L’Impératrice sortit d’une cassette une couronne sertie de rubis flamboyants et la chaussa sur sa tête brune. Elle contempla son reflet dans le miroir, la résolution peinte sur ses traits souverains. Pour Jeanne Cortès, la fin avait un goût d’éternité.

- Qu’il sache comment meurent les reines.

***




Dernière édition par Jeanne De Montpensier le Jeu 27 Déc - 15:38, édité 2 fois
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***


En pénétrant dans le palais impérial, c’était une scène de désolation sans nom qui attendait les armées de Caleb de Montpensier. Là où tout n’était hier que dorures et raffinement, il n’y avait plus que ruines et salles désertes dans lesquelles régnait un silence lugubre.
On fouilla partout à la recherche d’une âme qui vive, à la recherche de l’Impératrice déchue. Lorsqu’une porte résista, on sut qu’elle était derrière et on alla chercher le bélier. La porte, et tout le mur, vibra dans un bruit de tonnerre comme le bélier venait s’écraser, coup après coup, contre le battant avec une force inouïe. Enfin, la porte céda et Caleb pénétra le premier, trop désireux d’affronter enfin sa belle-sœur et lui signifier sa chute.

La Louve l’attendait. Il croisa ses yeux d’un bleu pâle qui le fixaient. Assise sur son trône d’Impératrice, à sa gauche celui plus grand et massif de l’Empereur laissé vide en l’absence de son fils, propriétaire légitime du glorieux siège. Sur le sommet de son crâne brillaient les rubis, elle était vêtue de pourpre et enveloppée dans le grand manteau d’hermine d’apparat qu’elle portait le jour de son sacre. Dans ses mains, savamment disposés, la main de justice et le globe de l’universalité. Tous ceux présents marquèrent un temps d’arrêt, attendant que l’Impératrice ne se lève et ne les chasse de sa voix impérieuse. Caleb lui, le visage dur, osa un pas et ouvrit la bouche afin de proférer des paroles injurieuses. Celles-ci moururent étranglées dans sa gorge.

Des lèvres rouges de l’Impératrice s’échappait un filet de sang, de son nez aussi, et ils traçaient ensemble des sillons rougeâtre sur sa peau blanche. Plus aucune lueur de vie dans ses pupilles de glace. La Louve était entrée ainsi dans l’Eternité. A ses pieds, une fiole brisée de laquelle s’échappait les restes de poison avec lequel elle s’était ôtée la vie.

***


Le soir même, alors que le reste de son corps avait été brûlé et ses cendres dispersées aux quatre vents, sa tête noire de jais ornait une pique sur les murs du palais impérial, visible de tous et de toutes.
Il s’en trouva dans le royaume et ailleurs pour célébrer la mise à mort de la Louve ensorceleuse, chantée par les ménestrels et crainte par ses maints ennemis. Il s’en trouva aussi pour, la nuit venue, l’enlever de ce piédestal macabre et écrire en lettres de sang sur les murs de la capitale impériale, partout où leur fureur les guidait: ECCLESIASTE 3 :17

Comme une sentence d’outre-tombe adressée par l’Impératrice, ces mots et leur signification se répandirent dans l’Empire comme une trainée de poudre, allumant indistinctement crainte ou espoir.

« Je l’ai dis en mon cœur, Dieu jugera les justes et les mauvais car il y a un temps pour toute chose et pour toute oeuvre. »




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